Suite aux annonces du Premier Ministre: Gennevilliers n’acceptera pas un OIN
Communique de presse suite aux annonces du premier ministre sur le logement :
Lors du Comité interministériel du lundi 13 octobre, Manuel Valls a annoncé vouloir booster la construction de logements, en région parisienne. Gennevilliers a ainsi été retenue comme site « traité en priorité ».
Sur les cinq villes retenues, toutes ont déjà démontré leur engagement en faveur de la construction de logements sociaux. Nous restons donc très dubitatifs sur les effets réels de cette annonce, puisqu’une fois de plus, les efforts vont reposer sur les mêmes. Par ailleurs, il n’y a aucune contrainte sur les villes qui ont peu de logements sociaux.
					
						
Je suis maire, communiste, matérialiste indifférent à l’existence ou non d’un dieu.
						
Le projet de loi de Finances de l’Etat pour 2015 confirme la perte de 11 milliards d’euros de dotations aux collectivités territoriales pour les trois prochaines années. C’est une somme énorme qui va déstabiliser les finances du bloc communal, provoquer une chute des investissements publics et diminuer à terme le niveau de service public rendu quotidiennement aux citoyens. Pour Gennevilliers, c’est moins 4 millions dans le budget 2015, moins 10 millions cumulés jusqu’en 2017 !
Mon intervention lors du conseil des élus de Paris métropole du 8 octobre 2014. Une proposition de texte pour refaire la loi inapplicable de juillet 2012 (loi mapalm) a été adopté par plus de 80% des maires concernés par le territoire de la métropole.
						
Ce mardi 30 septembre les 226 maires et présidents d’intercommunalités, représentants des exécutifs des conseils généraux et du conseil régional, ont élu les membres du comité de pilotage de la mission de préfiguration de la métropole du Grand Paris.
						
Il n’est pas rare, lors de rencontres avec des gennevillois que j’entende à propos des tarifs municipaux « oh, vous savez, moi comme je travaille je paye toujours le plein tarif » ou encore, « je suis en haut du barème, je paye pour les autres ». Voilà deux idées fausses qu’il convient de contredire.