30/03/2007 intervention sur la coopération internationale

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consg.gifSéance du 30 mars 2007 – Intervention générale de Patrice Leclerc sur la Coopération Internationale des Hauts-de-Seine

 

Monsieur le Président Sarkozy,

Mes chers collègues,

Depuis, plus d’une décennie, le groupe communiste dénonce le fait que la politique internationale du département n’ait jamais été un secteur d’une grande transparence.

Ce n’est pas une nouveauté due à votre présidence. C’est sous la Présidence de Charles Pasqua que nous avons refusé de participer au conseil d’administration de COOPERATION 92. Mais sur cette question, vous n’avez pas changé beaucoup de chose. Il y a eu des paroles mais peu d’acte.

30/03/2007 Intervention sur le développement économique

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92.jpgSéance publique du 30 mars 2007
Intervention de Patrice Leclerc de politique général sur le "Développement économique des Hauts-de-Seine"

Monsieur le Président Sarkozy,

Chers collègues,

Le groupe communiste est attaché à la présence dans notre département de grands pôles industriels. Cela témoigne tout à la fois de l’histoire de notre département et du savoir faire des salariés de notre région qui font le succès de ces entreprises.

30/03/2007 Intervention sur la politique culturelle du Conseil Général 92

Séance cu 30 mars 2007 du conseil général. Intervention de Patrice Leclerc sur la politique culturelle des Hauts-de-Seine

Monsieur le Président Sarkozy,

Mes chers collègues,
Il y a de nombreuses initiatives intéressantes dans les Hauts-de-Seine. Mais notre département pourrait faire beaucoup en matière culturelle. Nous avons les moyens humains, intellectuels, nous avons des moyens en termes de structures culturelles, nous avons les moyens financiers. Il nous faudrait un projet, une volonté plus charpenté.

Création de « communistes unitaires »

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reves.jpgCe samedi 24 mars après midi, j’ai participé à une réunion de création d’une nouvelle association politique: les communistes unitaires. En voici le texte:

Création d’une association des « communistes =unitaires »
Nous militons pour changer l’ordre d’un monde démoli par la logique libérale et la domination du capital. Nous nous inscrivons dans une visée =de transformation sociale et nous sommes partie prenante du mouvement antilibéral.

Mars 2007- Contribution Isabelle lorand

L’échec du rassemblement de la gauche antilibérale participe du véritable cataclysme qui s’annonce avec un affaiblissement global de la gauche, une marginalisation de sa frange la plus radicale, l’éventualité de la prise de pouvoir d’une archi droite en rupture avec la tradition française du « pacte social ». Paradoxe incroyable, c’est un candidat de droite qui apparait aujourd’hui comme l’obstacle au bipartisme et à la marchandisation généralisée. Le choix suicidaire de la direction d’abandonner la stratégie de rassemblement de la gauche radicale, risque d’entrainer le PCF à sa propre perte. Au-delà de la déroute présidentielle, ce sont le groupe parlementaire, mais aussi l’implantation territoriale, qui sont aujourd’hui gravement en danger.

Mars 2007 – contribution Pierre Zarka

Quelques réflexions sur l’organisation. Pierre Zarka.

 Je prévoyais écrire ces jours-ci une contribution en vue du 24 Mars, mais l’échange entre Isabelle Lorand, Roger Martelli et – à cette heure- Laurent Lévy me conduit à commencer par quelques remarques. Je partage le souci exprimé par Isabelle de ne pas reproduire ce que nous avons refusé au sein ou à propos du PC mais je ne crois pas que la solution soit de différer la mise en route d’une structure (en l’occurrence une association). Non seulement parce que nombreux sont celles et ceux qui sont dans l’attente que quelque chose de tangible existe, mais parce que les problèmes posés par notre culture politique ne se réduisent pas à la culture issue du PC, et qu’elle exige de nous d’entrer dans l’expérimentation concrète pour aller au-delà de l’invocation de ce qu’il ne faut plus faire.

Mars 2007- projet de résolution

Création d’une association des communistes unitaires

Nous éprouvons le besoin d’un espace communiste qui ne soit pas déterminé par le rapport au Parti Communiste Français. Nous nous inscrivons dans une visée de transformation sociale et nous sommes partie prenante du mouvement antilibéral qui est à la fois résolument pluraliste et à la recherche d’une convergence durable.

Mars 2007 – Contribution Frédéric Genevée

Communistes Unitaires

 

Rencontre nationale du 24 mars 2007

 

 

Contribution

 

Je suis partisan depuis le début de la création d’une association des communistes unitaires.

 

 

Communisme

 

 

Parce que je pense que le communisme demeure une nécessité historique au regard de l’état de la planète, barbarie ou communisme telle est la question qui se pose aujourd’hui avec plus de force encore qu’à l’époque de Marx.

 

Mars 2007 – Contribution françois Asensi

Contribution de François Asensi à la rencontre des communistes unitaires du 24 mars 2007 à Paris 8 – Saint-Denis

 

 

 

 

Une crise qui n’en finit pas…

 

 

 

Amorcé à la fin des années 50, amplifié dans les années 70 et accéléré depuis, l’affaiblissement continu du PCF, comme en atteste les résultats aux différentes élections nationales et locales, n’en finit pas.

 

Communistes unitaires: une contribution de Martelli

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reves.jpgRoger Martelli – Contribution à la réunion du 24 mars 2007

Quel que soit le résultat final de la séquence électorale de 2007, nous pouvons être quasi certains que nous entrerons dans une phase tumultueuse de recomposition politique. La crise est trop forte, elle affecte trop le coeur des institutions, elle bouleverse trop la dynamique de la gauche et de la droite pour que l’on puisse longtemps différer la réorganisation de tout le champ politique. Que nous le voulions ou non, c’est cet arrière-plan qui surdétermine notre réflexion particulière : la question du communisme n’est qu’un élément, parmi d’autres, d’une réflexion pratique concernant la gauche tout entière. Nos péripéties actuelles s’inscrivent dans un mouvement infiniment plus long : la gauche n’est pas sortie de la longue phase de crise ouverte, dès la fin des années 1970, par le double essoufflement de la perspective soviétique et de la social-démocratie classique appuyée sur « l’État-providence ». Où en est-on de ce point de vue ? Le communisme n’a pas réussi la subversion historique qui aurait refondé son utilité politique ; le Parti socialiste n’en finit pas d’osciller entre social-démocratie et social-libéralisme ; la gauche d’alternative, stimulée par le regain de combativité sociale amorcé en 1993-1995, a repris du poil de la bête mais n’a pas réussi à trouver l’élan électoral capable de la réinsérer au coeur de la vie politique instituée.