Ralentir pour accélérer la révolution
La revue du Projet l’a demandé un article sur la ville lente. Le voici.
La slow attitude n’est pas un mouvement nouveau. Il se développe depuis la fin des années 80 sur plusieurs thématiques villes lentes, slow food, avec un point commun à chaque fois la recherche d’une meilleure qualité de vie.
Il ne s’agit pas d’une idée « naturellement » communiste, mais d’une idée à regarder de près tant elle peut nous interpeler sur nos pratiques politiques en directions des milieux populaires, en plus de la question de la qualité de la vie.